Le problème de l’étude de la langue est souvent l’engagement de l’élève dans une activité cognitive, limitée à un "agir" trompeur, et à l’exécution de consignes dans des situations sans finalité (par exemple, remplir les cases d‘un cahier d’exercices.). Utiliser l’enaction suppose placer l’élève dans une démarche de mise en action et d’interrogation personnelle : quelle notion choisir, comment la comprendre, comment la transmettre ? Comment vérifier sa compréhension chez un pair ? Et surtout : comment donner envie de comprendre et d’apprendre à un autre élève ?

Une ressource proposée par Nathalie Baugier, professeure de français, et Jean-Michel Vivant, professeur des écoles

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